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Comment ça peut marcher à distance ?
Les scientifiques parleraient d'intrication quantique et les psys d'une communication télépathique d'inconscient à inconscient et c'est effectivement ainsi comme cela que ça marche.
Le psychanalyste Didier Dumas pensait que l'enfant est télépathe jusqu'à 2 ans et Françoise Dolto disait que si on voulait savoir ce qui se passait dans une maison, il fallait le demander aux bébés ou aux chiens de la maisonnée, le hic étant qu'ils n'ont ni les uns ni les autres la parole. En grandissant, cette capacité à savoir sans dire et sans penser avec des mots ne se perd pas, elle s'endort et peut ressurgir dans certaines circonstances. C'est le cas par exemple des prémonitions: tout d'un coup, on sait qu'il est arrivé quelque chose à un de nos proches qui portant n'est pas à côté de nous.
Plus couramment, des phrases comme "Tu n'as pas besoin de me le dire, j'ai deviné!" ou "Je le sais, je te connais par coeur!" nous rappellent que tout d'un coup cette fonction s'est réactivée et qu'elle est d'un autre ordre que la communication mentale qui passe par la pensée et les mots. Cette connaissance intuitive a des caractéristiques quantiques: communication instantanée et délocalisée des informations.
Pendant le travail thérapeutique à distance, c'est ce type de communication qui est en jeu et c'est parce que les deux personnes acceptent de jouer ensemble la partie, de défocaliser tous les deux leur attention mentale pour entrer dans ce champ de connaissance intuitive que cette communication particulière est possible.
Pourquoi parler d'approche spirituelle ?
Autrefois, la notion de "psycho-somatique" qui affirme l'intrication du psychique et du corporel et l'impact d'un pôle sur l'autre, était très décriée, maintenant elle est largement admise. Sans doute en ira-t'il bientôt de même pour la notion du "spirituo-psycho-somatique".
La spiritualité est une des composantes de l'homme au même titre que son corps ou sa psyché.
L'âme, le corps et l'esprit ne sont pas trois entités séparées mais trois dimensions qui déclinent la Vie qui nous habite en trois modes d'expression différents, intriqués, inséparables et interdépendants.
On est notre corps, on est notre âme, on est notre esprit et on est cet ensemble qui est une expression particulière de la Vie qui nous traverse tous.
Si on veut travailler à son mieux-être pour vivre mieux, on ne peut donc pas zapper cette dimension qui a son rôle à jouer parmi toutes les influences qui font qu'on est "qui on est dans la vie qu'on a".
Vous trouverez à l'onglet "Textes" un article qui développe ce thème. Il s'appelle: "Fée, coup de baguette et baiser du Prince".
Que sont les crises d'élimination?
Tout d'abord, il faut savoir que:
- elles ne sont pas systématiques
- elles sont différentes dans leur intensité et dans leur mode d'expression, elles sont transitoires
Elles se traduisent par une gêne:
- soit physique (mal de tête, rhume, fatigue, nausée... selon les zones de fragilité de la personne)
- soit émotionnelle (rêves désagréables, tristesse, hypersensibilité...)
On les appelle aussi crises de purification ou de guérison parce qu'elles sont effectivement le signe d'un travail profond du corps
- qui répond au travail énergétique reçu
- qui s'active à installer de nouveaux schémas de fonctionnement en accord avec les informations intégrées lors du soin
Il y a deux causes possibles:
- l'évacuation de très nombreuses toxines délogées par les nouvelles informations reçues
- le réveil d'une problématique antérieure qui était restée enfouie, qui se trouve débusquée et s'exprime. Dans le travail de soin, c'est comme au passage à niveau, "un train peut en cacher un autre" !
Pour les gérer au mieux, il convient de boire beaucoup d'eau pour drainer les toxines, se reposer pour aider son corps et surtout ne pas "diaboliser" l'affaire. C'est juste que en nous, "ça déménage"! Et on sait tous qu'un déménagement ça fatigue et ça remue la poussière.
Quelles différences entre soutien, psychothérapie et coaching ?
Le coaching comme la psychothérapie vise à instaurer un changement dans la dynamique de la personne qui consulte, tandis que le travail de soutien comme son nom l'indique ne cherche pas une transformation profonde mais se contente d'apporter un étayage (conseils, relaxation, dédramatisation...) à un moment particulièrement difficile de la vie du consultant. Cette aide peut être ponctuelle ou au long cours selon ses capacités à faire face à ses épreuves.
Pour s'engager dans un travail de psychothérapie, il faut tout à la fois ressentir une souffrance d'ordre psychique, postuler qu'elle a un sens et qu'on y est pour quelque chose. Si un de ces éléments manque, il est inutile de tenter cette grande et longue aventure qui va explorer le passé et l'inconscient pour mieux éclairer le présent et ouvrir un futur plus large avec des forces renouvelées.
Le coaching va proposer une aide, une réflexion sur un problème précis et ponctuel afin de trouver des moyens concrets pour rétablir l'équilibre qui avait été déstabilisé. On ne va ni explorer les liens avec le passé familial ou transgénérationnel, ni chercher un sens à la difficulté. Au vu de ce qui a été annoncé au premier paragraphe, le coaching pourrait s'apparenter au soutien. Néanmoins, le consultant est très sollicité par le coach et doit participer activement à l'élaboration des solutions à ses objectifs. C'est pourquoi on appelle le coaching "la thérapie des bien-portants".